Le problème ici était d’éviter la casse et de rouler le plus propre possible, afin que les mécanos aient le temps de la remise en état des véhicules avant le Castellet. Le choix de ne pas prendre de risque était plus à l’initiative des pilotes.
Muller l’a expliqué quand il a été interviewé, après course, sur sa rétrogradation lors des qualifications. Après un freinage trop tardif sur le dernier secteur il aurait pu escalader un peu plus le vibreur. Il ne l’a pas fait pour prendre soin de son auto et éviter des dommages.
Quand au suspense, les Honda étaient ds les choux à la première course de la saison précédente. Et pourtant elles ont progressés ensuite et ont été de sacrées concurrentes. Il n’y a pas 2.5s au tour de différence comme en f1. Et puis il y a les grilles inversées, le super lap lors des qualifications et encore les pénalités de poids pour le 1er.
Mais il est vrai que Citroën à mis les moyens de ses ambitions.